Une nouvelle rencontre... [PV : Fumiko ]

En me dirigeant vers la maison où Anastasia m'avait proposé de vivre, je vis l'entrée d'un parc. Pendant les années où je haïrais en cherchant un endroit qui pourrais me rendre heureuse, j'avais plusieurs fois observé les enfants joué sûr les toboggans et les balançoires et j'avais toujours eu envi de faire comme eux mais bien sûr, ne l'avais jamais fait : quelle aurais été les réactions des enfants en voyant un fantôme ? D’ailleurs, je n’étais même pas sûr que les humains puissent me voir.
Mais dans cette ville, je n’étais plus la seule à ne pas être "normal" et je pouvais donc y circuler comme je voulais ! En pensant à ça, je sentis un sourire apparaitre sûr mon visage... Cela faisait deux fois que j'avais souris ici alors que depuis ma mort, je ne l'avais jamais fait.

Je décidais donc d'entré dans le parc. L'entée était un magnifique griage noire sculpter de fleurs de toutes sortes. Je le passai et posai mes pieds sûr un petit chemin en gravier qui se séparait en trois un peu plus loin. Sur les bordures du chemin, il y avait des fleurs, oui, plein de belles fleurs toutes plus colorés les unes que les autres. Derrière les fleurs, un gazon vert un peu sauvage. Quand j’étais humaine, j'aimais beaucoup marcher pied nus dans l'herbe. J'enlevai alors mes chaussures, les laissant au bord du chemin, enjambai les fleurs et posai mon pied droit sur le gazon, puis le gauche. Je marchai maintenant dans ces tiges vertes un peu humides mais ne sentais rien sous mes pieds. Dommage... Je m'allongeai quand même dans l'herbe, car même fantôme, je sentais le vent frais au ras du sol. Je fermai les yeux et m'endormis...

Je fus réveillée par un oiseau. Au moins, je pouvais entendre l'agréable chant de ces volatiles. Je me levai et commençai à me balader dans l'herbe, sans me soucier de mes chaussures que j'avais laissées sur le bord du chemin. Je me dirigeais vers l'une des trois séparations du chemin principal et marchais maintenant sur celui-ci. Au loin, je vis que les fleurs sur les bordures du chemin étaient remplacées par des arbres. Puis je me rendis compte que, normalement, marcher sur du gravier pied-nus m'aurais fais mal. Comme quoi, être un fantôme avait aussi ses avantages : je ne pouvais ressentir aucunes douleurs physiques. Même s'il restait les douleurs morales. Je me mis à courir à toute vitesse vers les arbres que je voyais au loin et sentais le vent sur mon visage et dans mes cheveux. J'aimais beaucoup le vent. Surement parce que c'était la seul chose que je pouvais ressentir physiquement. En me rapprochant des arbres, je vis des points rouges dans leurs feuillages. Arriver à leurs niveau, je me rendis compte que c'était des cerises. Cela faisait énormément de temps que je n'avais pas mangé. Et, humaine, les cerises était mon fruit préféré... Euh... Après le chocolat ! Bref, je montai sur un des cerisiers pour en goûter une... Rien ! Alors les fantômes ne pouvaient pas non plus sentir le gout ? Je sautai de l'arbre (je ne pouvais pas mourir ni me blesser alors pourquoi prendre des précautions ?) et, un peu triste de savoir que je n'avais plus de papilles gustatives, entendis un bruit d'eau qui coule. Je tournis les yeux vers le son et vit une sorte de place, entourée de bancs et dont le centre était une fontaine. Je me dirigeais vers un des bancs, et mis assis.

Là, en regardant l'eau couler, je fis un résumer de ce que je pouvais faire morte. Il me restait deux sens sur cinq : j'avais perdu le gout et le toucher, tandis que je n'avais rien sentis non plus depuis ma mort. Bref, il me restait la vue, louis, le vent que je pouvais aussi sentir, ce qui était étrange vue que j'avais perdu le touché et aussi, toujours les sentiments. Sur ces pensées, je m’allongeai sûr le banc et fermai les yeux...

Que pouvait-on faire dans une ville presque entièrement vide ? Je ne le savais pas... Je me baldais dans ma ville. Oui, je pouvais le dire ! Ma ville ! Après toute ses années de bon et loyaux service en tant que Maire, j'avais comme même le droit de dire ça ! Je marchais dans les ruelles sombres de la cité qui avait été, jadis, peuplé d'humain tout à fait normal. Je comprenais maintenant pourquoi il avait déserter leur ville natale : Un démon noir entre dans leur vie, et eu, humain, n'appréciant pas, partirent. J'avais mis longtemps à comprendre tout de même ! Près de 1000 ans !
Je continuais ma route. Je ne savais pas où j'allais. Enfin si, vu que je la connaissait comme ma poche ! Mais bon !
Je me dirigeais vers le parc... Oui, j'allais vers l'Ouest, alors, j'allais vers le parc. J'étais doté d'un sens de l'orientation pourri ! Pourtant, je pourrais retrouver mon chemin les yeux fermé ici ! Pas comme avant, où je devais sans arret regarder la carte que j'avais toujours dans ma poche. Je déambulais dans ces ruelles à la recherche de je ne sais quoi. Une fois devant les immenses grilles du parc, je remarquais que des traces de pas s'enfonçaient dans le chemin de gravier. Je décidais alors de le suivre. Il s'arrêtait devant la pelouse, où gisait, abandonner par son propriétaire, un paire de chaussure. Les traces de pas à peine visible continuaient dans l'herbe. Je le suivais encore. Il allait vers le grand arbre de la ville. Une branche était un peu tordu. Comme si un esprit l'avait... torturé. Je plissais un sourcil, me questionnant sur le pourquoi du comment.
Les traces de pas se firent plus présente de l'autre côté de l'arbre, comme si on avait sauté. Je suivis encore celle-ci. Elles finirent sur le banc, où une jeune femme reposait les yeux fermé allongé sur celui-ci. Je ne la connaissais pas...
Anastasia avait enfin fait son boulot correctement. Je me penchais au dessus de la jeune femme. Je posais ma main sur son épaule. Je ne sentais pas de coeur battant sous sa poitrine. Normalement, même endormi, on pouvais entendre le pous dans chaque partit du corps. Mais là, rien ! Je ne sentais rien !

_ Bonjours ! Je suis Fumiko Nurokawa, Maire de cette ville, et vous ?

Même en restant un peu plus sur son épule, je ne sentais rien. Ce pourrait-il qu'elle soit un vampire ? Ou alors un fantôme ? Je n'en savais rien !
Mais je comptais bien l'apprendre...

Une voie me fit sursauter. J'ouvris les yeux et vis une femme. J'avais dormis ? Oui, j'avais dormis mais sans rêver. Alors les fantômes ne pouvaient pas non plus rêver... Quel dommage ! Mais bon, au moins je ne pouvais pas faire de cauchemars !

La femme en face de moi avait de long cheveux brun et des yeux marron. Elle avait l'aire gentil et me donnais un sentiment d'assurance. Elle m'avait parlé, mais qu'avait elle dit ? Je me rappelais qu’elle m’avait poser une question mais ne m'en souvenais plus. Je fermai alors les yeux pour me rappeler. C'était un réflex que j'avais toujours eu et qui devait paraître bizarre de l’extérieur, mais c'était la seule façon pour moi de me souvenir de ce que m'avait dit... Fumiko... Norokawa. C'était son nom. Elle m'avait dit autre chose, mais je ne m'en souvenais plus. Ce devait être une question. Je lui répondis donc :

- Je m'appelle Taiyô. Taiyô Haru et je viens d'arriver dans la ville.

C’était la réponse à la question qu’elle avait du me poser.

Je ne s'avais pas vraiment quoi lui dire... Mais si je comptais rester ici, autant me faire des amis. Et puis, elle m'avait l'aire plutôt sympa. Je lui demandai donc :

- Cela fait longtemps que tu es dans cette ville ?

La jeune femme ouvrit les yeux en sursaut. Elle referma les yeux et les rouvit quelque secondes plus tard. Etrange...
Elle se présenta ensuite : Taiyô Haru, elle ajouta aussi qu'elle venait d'arriver parmis nous.

_ Et bien Taiyô, je te souhaite la bienvenue parmis nous ! J'espere que tu t'y plaira !

Je souris. Elle semblait gentille et innofencif. Rien de quoi s'inquieter en mal ! Je me penchais un peu plus vers elle, et fini par m'assoir à ses côtés. Elle me posa alors une question a laquelle je ne m'attendais pas : Si j'étais là depuis longtemps ?
Je ris doucement.

_ Et bien, ma chère Taiyô, je suis le Maire de cette ville ! Mais si tu veus savoir, je suis ici depuis un bon millénaire, à attendre votre venu !

Je souris plus grand. J'étais heureuse qu'il y es de nouveau harrivant ! Notre ville se repeuplait gentillement...

Ma nouvelle connaissance c'était assise à côté de moi. Elle me répondit :

- Et bien, ma chère Taiyô, je suis le Maire de cette ville ! Mais si tu veus savoir, je suis ici depuis un bon millénaire, à attendre votre venu !

J'avais donc rencontré le Maire de cette ville. C'est plutôt un bon début d'avoir le maire en amie. Même si on n'était pas encore amies. Surtout qu'elle avait l'aire gentille. Je regardai la fontaine devant moi. Je n'avais visité qu'une partie du parc, et j'étais curieuse de savoir ou débouchais les deux petits bouts de chemins restant. Je me levai donc et me dirigeai vers l'embouchure, tout en demandant à Fumiko, en espérant qu'elle me suive :

- Cette ville n'est elle peuplée que par des être "anormaux" pour les humains ?

C'était une question que je me posais depuis que j'avais rencontré Anastasia. Elle non plus, elle n'avait pas l'aire d'être humaine mais je ne lui avais pas demandé. Et puis, si Fumiko était là depuis un bon millénaire, c'est qu'elle n'était pas humaine.

Après m'être assise, Taiyô se leva. Drôle de coincidence... Elle se dirigea vers l'embouchure menant vers la rivière. Elle demanda ensuite en s'arrêteant si cette ville était peuplé d'être anormaux. Que voulait-elle dire par là ? Peut-être qu'elle voulait me demander si j'étais humaine ? Je décidais alors de répondre à ce que j'avais compris.

_ Euh... Je suis mi-ange, mi-démon, mais si tu appelle ça anormaux, alors oui ! Nous sommes tous des " pas normaux " ! Des Nekos, des vampires, des Iccubes, des Succubes, la total !

Je lui souris. De toute façon, vu que je lui avais révélé la moitié de mon âge, elle le savait déjà. Et si elle avait rencontré Ana, elle aurait du le sentir que nous étions... Comment dire... Unique ! Je la suivis, et mis les mains dans les poches de mon jean. J'étais habillé simplement : Un haut vert, et un jean noir ainsi que des converses blanches. Quel mélange de couleurs ! Mais j'adorais ça ! Mélanger les couleurs qui vont bien ensemble !
Bref, je suivi Taiyô.

_ Tu voudrais visité ?

Elle me répondit qu'elle était mis-ange, mi-démon et que tout le monde, dans cette ville, était comme nous. Je fus heureuse de l'apprendre. Oui, très heureuse même. Dans cette ville, je pourrais enfin vivre pleinement comme je le voulais sans avoir à me cacher.

Fumiko se levât et me suivit tout en me proposant de me faire visiter. Cela me fit tellement plaisir ! Je pouvais enfin parler aux autres librement, me balader et je voulais et me montrer. Je lui répondis donc :

- Oui, merci. Ce serait vraiment génial !

Je pensai alors à ma mère. Dans son enfance, elle était déjà allée dans un parc ? Puis je me demandais si, humaine, j'aurais un jour put sortir de mon lieu de vie pour aller voir ce qu'il se passe en ville. Ce n'était peut être pas une si mauvaise chose que sa que je meure si jeune, finalement. Même si j'avais perdu trois de mes cinq sens.

Je souriais à Taiyô quand elle m'annonça qu'elle voulait bien visiter la ville avec moi. Je la pris par la main, et l'emmena sur la place. Je lui montrais la fontaine ériger ici il y a longtemps, puis, brefement, la Mairie, je lui fis visiter la place du marché et ses alentours autrefois flamboyant et animé. Je lui fis visiter la totalité de la ville. Le tout en courant ! Nous sommes passez sur des allées de gravier, et elle ne ses pas plainte d'avoir mal. Vu qu'elle était pieds nu. De quelle race pouvait-elle bien être ?
Puis, je la ramenais au parc. Je partis quelque instant, et lui rendonnais ses chaussures qu'elle avait laissé là, sur le bord de l'herbe.

_ Tu dois être comme moi ! Tu n'a pas eu besoin de tes chaussures alors que nous sommes aller sur du gravier...

Je la regardais dans les yeux, essayant de déceler son espèce. Je ne trouvais pas. J'attendis alors sa réponse en mettant mes mains dans mon dos. Peut-être ne me répondrait-elle pas, mais tant pis ! Je l'aimais bien Taiyô...

Elle me pris par la main et me fit visitée toute la ville en courant. Je m'amusai bien ! Puis elle me ramenai au parc et me dit toute en me rendant mes chaussures :

- Tu dois être comme moi ! Tu n'a pas eu besoin de tes chaussures alors que nous sommes aller sur du gravier...

Elle avait deviner. Facile ! Comme elle l'avait dit, j'avais fait toute la ville pied nus en courant sans ressentir aucune souffrances. Je lui répondis donc la vérité :

- Oui, je suis un fantôme. Je ne ressent donc aucune souffrance physique. En fait, il me reste deux de mes sens : la vue et l'oïe.

Je connaissais déjà son identité et j'en avait dit pas mal sûr moi mais je m'interrogeait sûr son histoire. Je ne savais pas trop comment abordé le sujet. Et si je la blessais en lui rappelant de mauvais souvenir ! Je t'entai quand même au risque de faire une bêtise d'une plus petite voix que la normal :

- Depuis quand est-tu le maire de cette ville ?

Elle pouvait me répondre par une réponse brève et simple, ou bien me raconter ce que je voulais et cette question n'abordait pas de sujet difficile. J'attendis donc sa réponse.

Alors, c'était un fantôme ! Elle m'apprit également qu'elle ne ressentait aucune douleur physique, mais qu'il lui restait tout de même deux sens. Il fallait bien ! Je n'imaginais pas vivre sans ses sens la ! COmment, sans la vue et l'ouï, pouvons nous vivre ?! Vraiment ! C'est carrément impossible !
Elle ajouta d'une petite voix, une question qui me fit rire légèrement. Alors, si je devais compter... J'pense que j'ai arrêter depuis longtemps...

_ Euh... Attend... ( je comptais sur mes doigts, les yeux lever vers le ciel.) Environ... 2000 ans, pourquoi ? N'es pas peur de me poser des questions, je suis là pour ça ! Mais tu sais, à l'époque, la ville était pleine de gens et d'animation ! Les marché étaient pleins à craquer ! La vie était beausoup mieux que maintenant ! Enfin ! Vous êtes là ! Cela me rassure, et me donne espoir !

Je lui sourit. Puis, relevant la tête vers elle, je lui posa également une question confiante !

_ Et toi ? Depuis quand es-tu morte ? ça fait quoi de mourir ?

Je voulais vraiment savoir ! Pour moi, une immortelle de naissance, je ne pourrais jamais mourrir, ni même la ressentir. Avoir l'avie d'une personne décédé depuis quelque temps déjà m'aiderais. Comprendre la vie était un de mes but ! Je m'étais toujours imaginé que la mort était courte et sans douleur. Mais peut-être es ce que je me faisais des illusions... Puis, j'inspirais à fond, me préparant à lui poser une question qui serais difficile pour nous deux.

_ Je peus te poser une question indiscrète ? Comment es-tu morte ?

Je baissais la tête. Quelque peu honteuse... J'esperais qu'elle ne le prendrais pas mal...

Elle me répondit que ça faisait 2000 ans et que la ville était beaucoup plus peuplé que cela . Puis elle me demandai depuis quand j'était morte et ce que ça faisait de mourir. Ces paroles me firent mal au coeur ! Comme quoi je pouvais toujours ressentir les choses psychologiquement. Mourir ça fais forcement mal !
Avant que je lui réponde, elle me demandait comment j'était morte. Je n'avait aucune envies de pleurer ! Est-ce que les fantômes pouvais pleurer ? Je baissai la tête et décidais de répondre à ses deux premières questions tout en ignorant la dernière :

- 62 ans je crois ! Et je peux te dire que mourir fait très mal !

Je ne voulais pas continuer sûr ce sujet ! Cela faisait beaucoup trop mal !
On était de retour dans le parc et Fumiko m'avait fais visité la ville sans que nous aillons vus la suite du parc je voyais plus loin les trois aller qui allaient chacune dans une directions. J'avais pris celle de gauche, il me restait donc à visité celle du milieu et celle de droite. Je me dirigeait donc vers cette dernière en espérant que Fumiko me suive.

_ Escuse moi pour toute ses questions... Mais tu sais, je ne peux pas mourir... Brefons ! L'allée que tu vien de prendre nous mène directement aux bois de Morny. A côtés de celui ci, le cimetière. Pas très gai comme endroit non ?

Ce qu'elle fit en me disant que je me dirigeais vers un bois et que l'autre chemins me mènerais au cimetière tout en riant pour détendre l'atmosphère. Je lui fis un sourir pour luis montrer que je ne lui en voulais pas. Mais c'était encore un de ces faux sourire grimaçant ! Temps pis ! Je continuais mon chemin vers le bois. Quand j'était petite, j'aimais beaucoup me baladée dans le bois à côté de cher moi. Je continuais donc mais ce que j'avais envie de voir c'étais des jeux d'enfant. Je voulais essayer les toboggans et les balançoires. Je repensais à ces enfants que j'observait jouer dans ces jeux et qui couraient partout en riant, leurs mères près d'eux pour les consolés quand ils tombaient et s'écorchait le genou. J'aurais tellement aimé avoir cette enfance là ! Et ça y est ! Je me perdais encore dans mes pensées ! Je me tournis vers Fumiko et lui dit :

- Je veux bien voir le bois ! Mais il n'y a pas des jeux d'enfant dans ce parc ?

Elle sourit ! J'étais soulagée ! Je pensais vraiment qu'elle m'en voulait ! Mais rien ! Elle se tourna vers moi en me demandant s'il y avait des jeux pour enfant ! Elle ajouta qu'elle voulait aussi voir le bois !
Alors ! Question une ! Oui, mais plus loin dans le parc, mais consernant leur âge et leur solidité... Ils étaient vieux, et je doutais qu'ils résistent à un poids, même faible ! Je me demande encore comment ils font pour rester debout... Je soupirais.

_ Alors, pour ta question, il y a bien des jeux, mais je doute qu'ils tiennent... Pour les bois, Ok ! On y vas ?

Je pris sa main, souriante. Mais, voulait-elle voir les jeux avant ? Je n'en savais rien... Je la fixais, attedant simplement sa réponse...

Je me souviens encore, quand j'étais plus jeune ( ou moins vieille ! ), ses jeux étaient mon antre ! J'y allais sans arret ! Je m'étais même fait gronder par Louise De Bavière ( l'ancien Maire ) car je ne voulais jamais laisser ma place aux autres enfants sur la balançoire quand je m'y trouvais ! Je ris en pensant à mon passé. Louise était morte maintenant... Elle me manquait et son élève, ainsi que mon amante, venait tout juste de refaire surface : Eleana...

Il y avait bien des jeux mais apparemment il devait être vieux et donc fragile. Mais quel jeux s’écroulerait sous mon poids ? Après tout, il y avait quand même des avantages a être un fantôme, car je n'avait tous simplement PAS de poids ! Fumiko me pris la main. Oui, je voulais aller directement au jeux d’enfants car en vérité, j'avais peur que la forêts me rappelle de mauvais souvenirs. Je voulu serré la main de ma nouvelle amie mais elle passa à travers de la sienne . Alors les fantômes pouvais bien passer à travers les murs ! Il suffisait de forcer un peut ! Fumiko eu un petit rire : elle était dans ses pensés. Je me demandais alors si elle s'était rendu compte de mon action fantastique. Bon, pour l'instant, je voulais aller à ces jeux et c'est tout ce qu'il m'importait ! Mais bien sûr, je comptais lui demandais à quoi elle avait pensé plus tard.

_ On y va ? dis-je en allant vers la directions ou elle voulais m’emmener.

Et bien ! Elle voulait voir les jeux ! Et pis, en fantôme, le poids ne devait surement pas compter... Alors, soupirant, je lui pris la main qu'elle ne me tendait pas. Je la menais jusque ses fameux jeux...

Plus loin, s'étendait les JEUX ! Un balançoire vieillit par le temps, couverte de rouille, un tourniquet grinçant à chaque mouvement, un tobogan tenant à peine debout, voilà en quoi consistait les jeux...Bien entendu, le coin moins de 8 ans était là aussi ! Une construction de métal rouillée, usée, ne correspondant plus au norme ! Je la regardais dans les yeux, souriante comme à mon habitude.

_ Voilà ! Tu voulais les voir ! Je pense que ton les construction suporterons ton "poids" ! Alors, tu peus y aller ! Moi, je ne peus pas ! Elle risque de tomber plus qu'elle ne le sont maintenant ! Allez ! File ! Pas de bétises !

Je croisais les bras, attendant qu'elle fasse ce qu'elle avait envi ! C'est à dire, courir jusqu'aux jeux, et rire comme une folle ! Après, je dis ça, mais ce n'est peut-être pas ce qu'elle vas faire...

Ca y éatait ! Nous étions aux jeux ! Fumiko m'autorisa à aller joué et m'observa courir vers les jeux en croisant les bras. On aurait dit une mère et sa fille de 6 ans ! Je courut donc vers ces jeux. C'était exactement ce que je m'imaginais, ce que je voulais et ce que j'avais vu dans les autres parcs. Sauf qu'il manquait quelque chose... Oui, c'était deux fois plus vieux et rouiller mais il y avait autre chose ! Je ne trouvais pas quoi et j'était actuellement devant la balançoire. Son portique était rouge, - ou plutôt avait été rouge car maintenant elle était presque entièrement marron-rouiller - les cordes qui tenait chacune une planches en bois qui devais avoir été peinte en rouge elle aussi mais la peinture était écailler et on pouvait voir le bois plein de petit trous surement causer par les mites sous ce rouge oranger, étaient à moitié défaite, laissant des petite ficèles dépasser.

Je me rappelais que tout les enfants sur ces balançoires, se faisait pousser par leurs mères. Là je n'avais plus de mère ! Non, il ne fallait pas que je me perde à nouveau dans mes pensées : je ne voulais pas pleuré devant les autres et surtout pas devant ma nouvelle amie. Dailleur, il ne fallait plus que je pleure, c'était finis ! J'avais une chance de pouvoir enfin avoir une "vie" alors il fallait que j'en profite et que je devienne forte ! Je m'assis donc sur la balançoire. Pendant un instant j'eu peur que le bois craque sous mon poids. Mais je n'avait pas de poids et de toute, façon, je ne pouvais ressentir aucunes souffrance physique.

Je ne savais tout de même pas comment on faisait de la balançoire. J'était vraiment comme ces enfants qui devaient êtres aidés de leurs parents et donc pousser. Je na savais pas comment faire ! Je voulais faire de la balançoire mais ne pouvais pas ! Tout d'un coup, je me rappelais que Fumiko était avec moi. Me rendant compte que j'avais du passer du temps à observé la balançoire tout en pensant, je me tournis vers elle.

_ Tu veux bien me pousser ?
Ces mots était sortis de ma bouche tout seule. Mais comme Fumiko c'était déjà comporter un peu comme une maman en m’autorisant à aller joué, elle accepterait peut être de me pousser aussi. Et puis maintenant, nous étions amies !

Une pensée me traversa : et si en me poussant, elle me passait à travers ? Après tous, en resserrant sa main la mienne était passer à travers la sienne. Mais c'était moi qui avait resserré l'entreinte et peut elle sue si elle l'avait fais me main serrais resté dan la sienne. Après tous, qui ne tente rien n'a rien !

Dans ces pensées, j'avais baissé la tête. Je la relevai donc vers elle et lui fis un sourire, assise sur le balançoire, en attendant qu'elle vienne me pousser...

La pousser ? Je soupirais. Elle avait couru, comme je l'avais prevu, jusqu'au jeux et c'était précipiter sur la balançoire. Elle voulait que je la pousse... C'était fessable, mais je devais déjà réparer les jeux. je m'approchais des fameux, et poussais un peu Taiyô d'un geste de la main. Je colais mes paumes et fermais les yeux. Mes cheveux volèrent, et un hallo de lumière m'envelopa. Comme quoi, mes pouvoirs d'Ange me servait de temps à autres ! La lumière se fit encore plus vive, et engloba la totalité de l'espace pour enfants dans lequel nous étions. Les jeux retrouvèrent leur splendeur d'entant, et la rouille c'était comme envoler. Pu aucune trace de rouille ! Les jeux étaient de nouveau comme avant.

J'invitais alors Taiyô prendre place sur la planche de bois, à présent niquel, pour que je la pousse. J'avais un peu le comportement d'une mère face à une jeune enfant ! J'aimais bien ça ! Mais, ce n'était que mon amie, et je ne devais pas l'oublier ! Je poussais alors la balançoire où se trouvait mon amie. Sa hauteur était convenable, ni trop haut, ni trop bas. Je ne voulais pas qu'elle fasse le tour entier et tomber ausol ! Même si elle ne sentait rien, j'aurais mal pour elle. Et puis, quand on y croyais, on pouvais la toucher, et je suis sur qu'elle pourrait sentir la douleur d'un chute en y croyant ! En croyant, elle pouvais tout faire ! Même oublier le plus sombre des passer !

Je poussais encore la balançoire pendant un moment, avant de lancer un grand coup la planche de bois, et de me poster à côtés de celle ci, voulant simplement voir le visage de mon amie s'éclairée de bonheur et de joie !

_ Alors ! Tu t'amuse !?

Je souris en pensant que j'avais été comme elle avant ! Maitenant que le Maire n'était plus là, je serais tout simplement incapable de remonter sur ses balançoire ! J'y avait beaucoup trop de souvenir ! Et quand je pense qu'avant ! Elles étaient, comme, à moi ! Je ne les partageaient avec, véritablement, personne ! Que de souvenir ! Mais des bons! Heureusement ! Nous ne devions plus vivre dans le passé ! Seul l'avenir comptais à présent ! Et je comptais bien faire oubleir son passé à cette chère Taiyô, pour quelle puisse enfin vivre sa vie correctement !

Fumiko alla alors vers moi, me dégagea de la balançoire, joins ces mains et cet alors qu'une lumière éblouissante engouffra le parc et peut être même plus. Cette lumière me donnais un sentiment de chaleur et de sécurité, puis l'éclairage redevint normal et je fus sans voix en voyant que les jeux étaient comme neuf. Le portique était juste rouge, sans rouille, tout comme les planche en bois sûr lesquelles on s’assaillait pour jouir du plaisir ce jeux qui avait du traversé des générations. Je me rendis compte que les cordes étaient jaune. Ces balançoires étaient tout simplement parfaites depuis que Fumiko avait répandu sa lumière et je ne ressentais plus le sentiment qu'il manquait quelque chose.

Je fis un grand sourire à Fumiko. J'était émerveillé. Mais avant que j'eus le temps de lui demander comment elle avait fais, elle m'invita à m'asseoir sur la planche en bois rouge orangé qui était en face de moi. Je lui obéit et elle me poussa. J'avais l'impression d'être à la place des enfants que j'observait autrefois et je ris ris au éclat après que mon amie m'ait demander si je m'amusait. Mais plus que l'impression d'être une enfant, j'avais l'impression de volé. Je fermai les yeux et ris de plus belle.

Je ne vis pas le temps passer mais au bout d'un moment j'avais la tête qui tournais. Oui, les fantôme peuvent avoir la tête qui tourne ! Cela m'était arriver plusieurs fois depuis ma mort. Peut être que c'était psychologique, à cause de la chute qui a entraîner ma mort mais je ne voulait pas le savoir ! En tout cas, se mal de tête devenais insupportable. Je demandai donc à Fumuko d'arrêter ma balançoire.

Je sentis des larmes chaudes sur mes joues. J'avais pleuré ! Mais de joie ! C'était la première fois que je pleurait de joie, mais je savais que ce n'étais pas à cause de mon mal de tête mais parce que je m'était fais une amie, que j'avais réaliser une de mes désir, et que je me sentais enfain à ma place ! Je voulais rester dans cette ville ! J'y était heureuse ! Même si je n'y avais passer que quelques heures, je m'y s'entais bien. Je ne voulais plus pleuré ! En tout cas plus de tristesse ! Je voulais sourire, rire au éclat comme je l'avais fait il y a quelques instants ! Je me promis donc de ne plus sentir de larmes froides sur mes joues. Je voulais oublier la cause de ma mort, tout en honorant ma mère ! Je tournis la tête vers Fumiko en souriant, attendant qu'elle arrête la balançoire. Je voulais savoir comment elle avait fais le miracle de tout à l'heure et il me restait le toboggan à essayer.

Je suivis son rire ! Cela faisait plaisir d'entendre quelqu'un d'autre que moi rire dans cette ville ! Elle ne répondit pas à ma question, mais ce rire fabuleux suffit ! Elle me demanda ensuite d'arrêter la balançoire. Je ne pouvais pas refuser cette demande. Je fis donc arrêter celle ci doucement.
Soudain, je vis des larmes coulant sur les joues de mon amie.Pourquoi pleurait-elle ? J'eu un air d'étonement. Je m'approchais d'elle et posais ma main sur son épaule.

_ Ca vas ?

Je ne pouvais que poser cette question. Après tout, qu'aurais-je pu poser d'autre ? Une interrogation du genre : Qu'es ce qui se passe ?!.
Cela aurait été beaucoup trop violent ! J'esperais juste que cela n'était pas grave.

En ayant vu Taiyô faire de la balançoire, et me revoyant à sa place des dixaines d'années plus tôt, je repensais à l'ancien Maire. Dis donc ! Je pensais beaucoup à elle en se moment ! Mais les nouveaux harrivants me faisait tellement penser à elle ! Revenons à la réalité !

Taîyô pleurait toujours, et moi, inquiète, je me demandais se qu'elle avait bien pu penser pendant que je la poussais ! Je m'interrogeais sur ce qu'il pouvait bien avoir dans sa tête. Une chose mauvaise, ou simplement du bonheur ? Je préférais attendre sa réponse, mais, toujours inquiète...

Fumiko arrêta la balançoire. Elle vus mes larmes et eu un regard inquiet avant de me demander si j'allais bien. Je lui fis alors un grand sourire et lui dit :

_ Très bien ! Ca fait si longtemps que je n'ai pas été aussi heureuse !
Puis je ris et la pris dans mes bras. Je pleurais toujours, je voulais faire couler toute les larmes de mon corps maintenant pour ne pas pouvoir les utiliser après par tristesse. J'avais si peur de tout perdre, que ce ne sois qu'un rêve et que je me réveille, que tous disparaisse ! J'avais rencontrer de personne dans cette ville et j'avais déjà beaucoup d'affection pour les deux. Je serrais mon entreinte et lui dit :

_ Merci ! Tu est une de mes seule amie ! Je veux rester dans cette ville, je m'y sens bien, j'y suis heureuse ! J'ai enfin des amis !
Un énorme sanglot de larme me montais au yeux pendant que je disais cette phrase. J'étais si heureuse ! Je lâchais mon amie et la regardais dans les yeux en souriant pour voir si elle ne s'était pas transformer en arbre ou quelque chose du genre ! Si je n'avais pas réver et que je n'étais pas en train de câliné un lampadaire. Puis je lui demandai :

_ Comment as-tu fais pour "réparer" la balançoire ?

Je lui rendis son étreinte. Sa seule amie ? Mais elle en aurait bientôt d'autres ! Mais ! En y pensant ! Elle arrivait à me toucher ! Je la regardais, surprise, et je lui pris la main et la lui mis devant son nez pour quelle comprenne que dans ce monde, même si elle était un fantôme, on pouvait tout de même la voir et la toucher ! Après tout, nous sommes dans un Monde Parallèle n'es ce pas ?!
Cette question ! Jamais je n'aurais penser qu'elle me la poserais ! Elle n'a pas voulue garder le secret du magicien ( même si j'en suis pas un ), et savoir l'astuce ! Dans ce cas là, il n'y avait aucune astuce, ni encore moins de secret ! Mon père m'a légué autre chose que de la haine et du desespoire.
Je lui rendis son sourire, et, du bout de l'index, ramassais les larmes coulant sur ses joues rossie. Je passais ma main, sondant l'horizon.

_ Chaque chose est composer de molécule. Ces molécules sont incalculable dans mon cas. Je suis un ange et un démon. Mon père ne m'a pas léguer que des mauvaise chose. J'ai pouvoir absolue de cette ville ! Bien évidament, j'aurais pu le faire avant, mais, je n'avais pas le courage de revenir ici vois-tu ? Cet endroit, j'y es vécu presque tout ma vie ! Mon enfance ! Ma vie est cette ville ! Mais, ne dérivont pas ! J'ai réculé le passé pour les faire redevenir comeme elle étaient avant ! Je pourrais faire cela avec toute la ville, mais elle referme tellement de souvenir ! Tellement de souvenirs....

Je répétais plusieurs fois cette dernière phrase à voix basse. Taiyô était également mon amie ! Je voulais lui expliquer, lui apprendre, lui donner ! L'histoire de cette cité l'interesserait peut-être qui sais ?! Je l'emmenerais à la bibliothèque, lui raconter le passer de ce monde ! Je voulais qu'elle sache ! Que les habitants de cette ville est des choses à apprendre de moi ! Et simplement, d'Ici et Maitenant ! Ils peuvent, et doivent réinventer l'histoire de demain. L'histoire d'aujourd'hui ! Et si il avait des choses à me dire, que ce soit négatif ou positif, ils devaient me le dire ! Améliorer, redonner vie, et construire !

La vie est parfois remplis de surprise !

Son étreinte et son geste, qui me montraient que j'éxistait, me firent un pincement au cœurs, il m’était déjà arriver d'en avoir, mais pas des comme ca ! Oui, ce pincement n'était ni de la rage, de la haine ou de la tristesse comme autrefois, c'était de la joie, de l'amour, oui un pincement de joie, d'une joie énorme. Je ne pus m’empêcher de faire un énorme sourire. Et les larmes remontaient mais je ne les laissai pas coulés, pas cette fois car elle me parlait. Elle avait l'aire pensive et ce qu'elle me disait m'intéressait.

Elle disais qu'elle avait plein de souvenir ici, dans cette ville. Et moi qui voulais y rester, y habiter, je ne savais rien de cet endroit. Je voulais apprendre, en savoir plus, tout connaître ! Je m'assis donc sur un banc pas loin du toboggan, lui faisant signe de venir. Le vent était doux. C'était tout ce que je pouvais sentir. Je commençais à passer à travers le banc.
Non ! J'existe ! J'ai une amie qui me voie, me touche et me parle. J'ai des sentiments. Seul mon physique n'est pas normale.
Alors je me concentrai. Ca ne marchait pas. Je fermai les yeux... "Ai confiance en toi ! Tu n'est plus seul !" Je commençais à sentir le banc, je rouvris les yeux. J'étais assise, SUR le banc et pas dedans. Une joie immense m'envahie. C'était le début d'une nouvelle vie ! Enfin, "vie", façon de parler. Je n'avais plus à hèrer sur Terre. Enfin !

Le banc était froid. Non, frai ! C'était agréable. Et puis, c'était la première fois que je pouvais sentir quelque chose sous mes mains. C'était la première fois que je pouvais contrôler mon "pouvoir".

Je levai la tête, fis un grand sourire à Fumiko, lui demandai de me raconter ses souvenirs, tout ça. Après tout, les amis c'est fait pour ca !!! Et surtout, j'avais vraiment envie d'en savoir plus sur cet endroit que je commençais vraiment à aimer...

» Ma nouvelle maison
» C'est moi .. Nouvelle assez etrange ...
» ~ Riruko Tsuzumi, nouvelle arrivée ~
» Découverte de cette nouvelle ville...[pv Eleana Akamatsu puis libre]