Une arrivé un peu sanglante ! Enfin peut être !

J'arrivais par cette porte qui allais me permettre de ne pas finir chez les flics, une grande place avec une fontaine horrible était devant moi. Je mettais blesser en essayant de fuire ses maudit flics ! J'avais mal, il me fallais une maison d'urgence, je devais absolument refermé ma plais, je tombé nez a nez avec la mairie. Je rentrais et montais les escaliers que j'avais devant moi, j'arrivais devant le bureau du maire et sortais l'un de mes colt. Je rentrais sens frappé et voyais une jeune femme assise derrière son bureau. Je lui collais mon colt dans le cou et lui dit d'un air fatiguer mais énervé:

-Je veut une maison et tout de suite !

Ma plais s'ouvrait de plus en plus et mon sang coulais sur le bureau de laé jeune femme, mes yeux étais devenu rouge et mes canines commençaient a sortir, mon envie du sang reprennais possession de moi.

Je regardais calmement une série policière, qui parlait d'une jeune femme assassin qui se faisait poursuivre de tout les côtés. Lorsque une porte, dans la série s'ouvrit, le dite femme entra, et posa son colt sur le cou d'une autre femme. Elle cria ensuite qu'elle voulait une maison et vite ! Elle avait une plaie au niveau du flanc gauche. Je rie bruyament. Soudain, je sentis la présion d'une tige métallique sur mon propre cou. Je levais le regard et enleva mes oreillettes. Je n'avais vraiment rien d'autre à faire ! Je vis une femme, la même que dans la série. Je fesais la navette entre mon écran, où était figé le visage de cette femme, et la véritable personne. J'ouvris la bouche de surprise.

_ Waouh ! C'est une caméra caché ?

Je me mis à rire. Puis, je remarqua que la plaie était belle et bien réelle. Je posais doucement ma main sur celle-ci, et fermais les yeux. Mes pouvoirs angélique se chargèrent de la refermer. Je poussais le flingue de sur mon cou, la regardais gentillement, lui fis signe de s'assoir et croisais mes bras sur mon bureau.

_ En quoi puis-je t'aider ?

Je lui souris et attendis sa réponse...

Je menassais la jeune femme de mon arme et lui demandais pas gentillement du tout une maison, la jeune femme se mit a rire guérit ma blessure et poussa mon arme comme si de rien n'étais, elle me fit signe de m'assoir et me demanda se quel pouvais faire pour moi. Je la regardaais avec de grand yeux et lui dit d'une voix plus douce mais toujoursd méchante comme a mon habitude:

-Je veux une maison !

Je voulais pas lui dire merci parce qu'elle avais soigné ma plaie au contraire, je ne lui fesais pas peur, cela m'énervais tellemnt que je commenças a decsendre ma main vers ma botte pour attraper mon poignard et lui couper un mem;bre pour quel m'obïsse et qu'elle ets peur de moi. Je voyais mon sang sur la table et avais faime je voyais la coup de la jeune femme dégargé, je remettais mon poiugnard dans ma bottes et m'apprétais a sauté sur la jeune femme.

La jeune femme me parla avec douceure... Enfin, elle essayait. Parceque sa voix contenait toujours de la méchanceter. Elle me dit qu'elle voulait une maison. Sa main déssendit lentement vers son pieds. Pourquoi ? Soudain, elle reposa son pied, et me regarda avec inssistance. Puis, je vis le sang sur mon bureau. Oh ! Voilà un truc qui vas encore avoir du mal à s'enlever à l'eau ! Je la regardais s'avancer vers moi, pressant sur chaque pas. Je me déplaçais rapidement vers la porte, une clef à la main. La numéros 3. Il n'y avait personne dans celle-ci pour l'instant, mais il y aurait bien du monde qui compléterais.

_ Voilà ! Ta maison se trouve dans l'allée que tu vois en face ! Tu continue tout droit pendant une dixaine de métres, et tu y es ! La maison portant le numéros trois. Tu peus pas la rater ! Maintenant, vas te nourrir ailleur jeune vampire ! Je suis déjà à quelqu'un ! Et, mon sang n'es pas commestible !

J'ouvrais la porte et tendis la clef. Je n'avais pas envie que quelqu'un me touche à part mon amante ! Nan, mais, qu'es ce qu'elle voulait de moi !? Mon sang ? Ou... Oh !
Je posais la clef sur mon bureau, et me dirigeais vers derrière celui-ci. J'ouvris le frigo encastré dans le mur. Dedans, un poche rouge. Celle d'Ana. Je secouais la tête, l'ouvris en faisant apparaitre un verre. Je remplis le verre, et le lui tendis.

_ C'est du sang. Du O positif. Si tu préfére un autre, vas dans la forêt.

Je posais alors le verre, en ayant assez de le tenir. Je pris de nouveau les clefs, et les posaient à côté du verre.

_ Bienvenue à Morny ! Bienvenue !

Je lui souris en l'inssitant à prendre le verre. Je ne voulais comme même pas qu'elle me saute dessus pour mon sang !

» Arrivé dans une ville fantôme... Enfin presque !
» Aika arrive !
» Mesdemoiselles, Charme arrive...
» Je viens a peine d'arrivé et je pars déjà !