Nom : Haru
Prénom : Taiyô
Âge : 103 ans
Espèce : fantôme
Description physique :
Mes cheveux sont roses clair et descendent jusqu'à mes épaules en dégradé, j'ai une frange don les mèches sont plus longues au milieu du front et se raccourcissent en s'en éloignant, sûr mes lèvres inférieurs on peu voir un trait et il y a un point sûr mon menton juste en dessous du trait. Ma lèvre supérieur est fine et ma lèvre inférieur assez large. J'ai l'œil gauche cacher par deux pansement qui se croisent tandis que mon œil droit est vert pomme. J'ai un nez petit et simple et mon visage est plutôt fin. J'ai des bras long et fin comme mes doigts. Les roses qui m'entoure ne son que des illusions que je me fais pour me rassurer, ne pas oublier ma mère et me faire croire que j'ai réalisé mon "rêve". Je porte une simple robe en bustier noire qui m'arrive au dessus des genoux. Je souris rarement mais dites-vous que les apparences peuvent être trompeuse et que c'est le cas pour moi !
Description du caractère :
Comme je l'ai mis dans ma description physique, je souris rarement mais ce n'est pas pour autant que je suis gentille, attentionnée, patiente, et que j'aime faire plaisir aux autres. Par contre je suis maladroite autant physiquement que mentalement et je peux donc faire des gaffes et je ne suis aussi pas très bavarde mais cela ne veut pas dire que je n'apprécie pas la personne : je peux rester des heures et des heures à l'écouter sans jamais rien dire. Je suis souvent dans la lune car je pense a ma mère dans ses moment là ce n'est même pas la peine de me parler je n'endenterai rien et si je me mets à pleurer ne vous inquiété pas; en fait, quand je suis dans la lune, faites comme si je n’étais pas là ! Je ne supporte pas la vue du sang : ça me fais faire des crises de paniques qui finissent par un malaise (j'ai un passer plus ou moins gore alors je suis assez traumatisée par le sang). Je ne m'énerve jamais, soit je me mets à pleurer ou alors j'ignore.
Histoire :
Mon père a abandonné ma mère quand elle m'a mis au monde. Nous vivions donc seuls dans une petite maison au fin fond de la campagne. Je ne suis jamais allé l'école car elle était trop loin et payante. Ma mère travaillait dans l'usine du coin et y faisait les taches les plus dures. L'usine était à une heure de marche de notre maison et elle commençais à 6 heures du matin pour finir à 20 heures; elle partait donc à 4 heures et rentrait à 21 heures 30. Pendant qu'elle travaillais, je faisais le ménage et préparais le dîner. Le midi j'allais dans la forêt juste à côté, je cueillais les fruits des bois et les mangeais avec du pain sûr une colline qui donnais sûr une magnifique vue. J'étais heureuse et ma vie me plaisait comme ça. En bas de la colline il y avait des roses. De magnifiques roses rouges. Je voulais les cueillir mais ma mère m'avais prévenus que les roses piquais et j'en avais donc peur.
Un jour je pris mon courage à deux mains et je décidai d'aller en cueillir un bouquet. Mais la pente était trop escarper et j'ai glissé, me suis cogné la tête contre un rocher et roulé jusque dans les rosiers. J'étais encore vivante mais ne pouvais pas bouger et me vidais de mon sang par mon œil gauche, qui s'était pris une épine de rose. J'étais coincée là, en train d'agoniser, ne pouvant ni bouger ni appeler à l'aide, pendant de longues heures.
Mais au font je ne suis pas complètement morte : ne voulant pas laisser ma mère toute seul, je suis devenus un fantôme. Et pendant 72 ans, j'ai veillée sûr ma mère, sans qu'elle me voie, sans qu'elle sache que j'étais là. Et pendant toutes ses années j'ai essayée de lui montrer que j'étais là, j'ai essayée de cueillir ces roses, mais je ne pouvais pas car à chaque fois je me remémorais la scène de ma mort.
Il y a 23 ans, ma mère est morte et je suis resté seul, je suis alors allé chercher un endroit où je pourrais être heureuse. Un jour, j’ai vu une grande porte en bois j'y suis alors entré et me voilà dans ce village...
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