I'm holding on! My heart took a boat capsized as the storm ... ~ | The arrival that separates us !

My heart is mine !

Naoki regardait la porte qui se dressait devant elle, ses valises aux mains. Comment s'était-elle retrouver là ...? Son coeur battait fort alors que ses cheveux étaient poussés par un vent doux mais inquiétant. Devait-elle avancer ou rester là... Peut-être même serait-il plus prudent pour elle de faire demi-tour pour rentrer à la maison. Ses émotions se mélangeaient bien trop. Sa robe rose aux volants et rubans violets suivait ses mouvements hésitant. Un pas en avant, deux pas en arrière. Son pied se bloqua sur une racine d'arbre et elle chuta sur les fesses, ses valises s'écrasant à ses côtés. Ses cheveux juste avant si bien coiffé se retrouvèrent en bataille. Elle hurla, sa cheville lui faisant mal. La grande porte en bois l'attirait en quelques sortes, elle l'intriguait. Pourquoi y avait-il une porte comme celle-ci en pleine forêt ? Où menait-elle au juste ? La petite succube prit son courage à deux mains, attrapa ses valises et se releva, avançant en vacillant presque. Son coeur accélérait de plus en plus à mesure qu'elle se rapprochait de la porte. Posant ses valises à ses pieds, elle tendit la main vers la poignée, le souffle haletant et un air perdu au visage. Sa main tremblait mais elle parvint à agripper la poignée. Premier obstacle passer ! Maintenant, plus difficile, ouvrir la porte. Elle tremblait toujours... Elle n'avait pas fait tous ce chemin pour rien ! Hors de question qu'elle fasse demi-tour ! Elle ne savait même pas où elle était et les arbres derrières elle semblait menaçant, mieux valait donc franchir cette étrange porte. Elle ne recula pas, prit une grande inspiration et ouvrit la porte.

Overcome her fear !

La porte grinçait en s'ouvrant. Une fois entièrement ouverte, Naoki attrapa ses valises et la franchit d'un pas de nouveau hésitant. Derrière elle, la faisant crier de peur, la porte se referma brutalement et disparu. Elle ouvrit de grands yeux et se laissa tomber au sol, cachant son visage avec ses mains. Quel était cet étrange sort ? Pourquoi la porte avait-elle disparu ainsi ?! Elle ne voulait pas rester là ! Non, ce n'était pas possible ! Les larmes coulèrent à flots le longs de ses joues. Elle devait rêver, la réalité ne pouvait pas être aussi dur avec elle. Elle n'y croyait pas... Elle sortit de l'une de ses valises un ours en peluche rose à oreilles rayées blanches et roses et le serra contre elle. Tout allait bien, elle allait suivre le chemin en sens inverse et finirait bien par retrouver la sortie. Devant elle, une longue et assez larges allée d'arbres. Derrière elle, un énorme rocher qui bloquait le passage après quelques pas. Elle suivit donc l'allée d'arbres en serrant de plus en plus fort son doudou contre elle. Pour elle, s'était le seul moyen de se rassurer. Personne en vue, ni femme ni homme. Elle soupira, finalement ce lieu semblait désert. Gardant son ourson sous le bras et ses valises en mains, elle avançait en chantonnant joyeusement. Tout le long de l'allée d'arbres, personne. La calme, la sérénité... Elle aurait bien voulu rester à cette allée mais elle ne pouvait pas car les arbres semblaient se refermer derrière elle. Elle accéléra le pas puis finir par courir pour échapper aux arbres menaçant avant de tomber devant un grand bâtiment. Elle s'arrêta net et se retourna, les arbres étaient redevenus normaux... Etrange...

A kid again fearful...

Elle regardait le bâtiment sans oser avancer encore. Elle posa encore ses valises à ses côtés pour monter son ourson jusqu'au niveau de son visage. Elle pencha la tête vers la droite et le fixa, lui qui ne bouger ni ne parler pas. Pour elle, il était tout de même vivant... Il pouvait parler et lui dire ses inquiétudes, l'écouter et la consoler. Son coeur ne cessait pourtant de battre la chamade. Elle voulait... Sa maman ? Non ! Elle ne devait pas penser à elle ! Cette femme qui avait pleurée de fausses larmes, qui avait aimé un homme qui ne l'aimait pas, elle, la petite fille si différente. Son coeur se serra et elle se remise à pleurer, plaquant sa peluche contre sa poitrine pour la câliner. Rien n'allait bien, c'était certain. Certes, ici c'était calme, pas un chat, mais elle avait peur. La nuit tombait peu à peu et bientôt il fut presque entièrement nuit. Elle sanglotait, assise au sol en gardant son ourson avec elle. Ses valises tombèrent du fait du vent en un fracas bruyant qui fit sursauter la succube. Elle retint un cri de peur. Se levant, elle regarda les arbres qui avaient reprit leur expression horrible, les branches ressemblantes à nouveau à des griffes. Elle se recroquevilla sur elle-même en sanglotant toujours. Ses pleurs résonnaient dans le calme pesant et elle marmonna.

- Je veux mon papa... Je veux ma maman... Je veux rentrer à la maison, j'ai peur ici. Papa, viens me chercher s'il te plait !

Ses larmes heurtaient le sol sans qu'elle ne puisse les arrêter. Où était-elle ? Que faisait-elle ici ? Si cet homme n'avait pas été là, si seulement il n'avait pas été là !

Mmm... Enfin de l'air ! Après presque quatres bonnes heures de trie sans ma secrétaire, j'étais à bout ! Déjà, j'étais gentille, je ne l'avais pas forcer à travailler le Dimanche !
Je sortis de la Mairie et m'étirais devant celle-ci. J'en avais mal au dos ! A force de me pencher sur cette paperasse, mes lombères me torturais.
Soudain, des pleurs atteignirent mes oreilles. Qui pouvait bien pleurer ? Je retournais l'allée de la Mairie, voualnt trouver d'où venait ses sanglots. Je finis par les trouver. Une jeune fille, recroqueviller sur elle même, serant si fort son nounours rose que des plis bien tracé se formait sur les poils de celui-ci. Je m'approchais doucement pour ne pas l'effayer. Je me mis acroupis devant elle, et plaçais mes coudes sur mes jambes pour réussir à tenir. Je passais gentillement ma main sur ses cheveux dorées et murmurais juste assez fort pour quelle l'entende :

_ Bonjours. Pourquoi pleure tu ? Dis moi...

Un sourire se dessina sur mes lèvres. Que pouvais bien -t-elle faire ici seule ? Avait-elle franchie la porte de bois ? Peut-être voulait-elle rentrer chez elle... Ce qui expliquerais ses sanglots. Voir la porte disparaitre devant ses yeux était quelque chose ! Moi même, je l'avais vécue, mais en aucun cas, je ne voulais retrouver mon ancienne vie ! Rentrer chez elle était à présent impossible ! Il faudrait qu'elle se fasse à sa nouvelle "Famille" que nous étions. Mais...peut-être ne voulait-elle pas de nous ? De toute daçon elle ne nous connaissait pas... Avec le temps, elle se rendrait compte que nous ne lui voulions aucun mal... Elle voudrait surement essayer de rentrer par nimporte quelle moyen, mais cela était tou simplement impossible.
Je craignais qu'elle ne veule partir et rejoindre ses parents ! De toute évidence, la porte ne c'était pas offerte à elle dans le meilleur moment...

J'étais dans la forêt. Je m'amusais à suivre un papillon. Il était bleu turquoise avec de jolies taches noires. Je miaulait car j'étais sous ma forme de chat. Je slalomais entre les arbres cherchant à attraper le papillon qui m'intriguait tant, en vain. Soudain les poils de ma nuque se hérissèrent. Je reniflais, feulait et sentis une présence. Qui était-ce ? Fumiko ? Je respirais l'air... Non, ce n'était pas elle, elle n'avait pas cette odeur là. Etrange... Instinctivement je me mis à chercher la présence étrangère qui se promenait dans les bois. Je cherchais toujours, quand, je vis la porte de bois s'ouvrir et laisser apparaître une belle jeune fille. Elle devait avoir la douzaine d'année. Mais dans son regard j'y décelais quelque chose. Non elle n'avait pas douze car ses yeux d'un bleu délavés la trahissaient. Elle était plus agée que ça. Je dirais la quainzaine d'année, peut-être...
Elle avait des longs cheveux blond bouclés et une frange qui lui recouvrait tout le front. Elle porter des valises. Elle commença à marcher lorsqu'elle trebucha sur une racine et s'écroula au sol. La pauvre, j'eus envie de l'aider mais je repoussa cette idée de peur qu'elle soit méchante avec moi. J'ai toujours peur des inconnus. Et là j'ai encore plus peur car elle vient de l'autre monde. Celui qui m'a rejeté. Je l'observais sans qu'elle me voit car j'étais cachée derrière un arbre. Sa coiffure si parfaite lorsqu'elle avait traversé la porte n'était plus qu'un très lointain souvenir. C'était carrément la troisième guerre mondiale dans ses cheveux par rapport au début. La porte avait disparue comme pour moi, ausitôt je l'avais traversé qu'aussitôt elle s'était refermé et avait disparue je ne sais où. Puis elle continua son son chemin et passa par l'allée pleine d'arbre qui me faisait peur à moi-même, je crois que d'alleurs elle aussi avait peur. Cela se voyait sur ses trait si fins. La jeune fille était belle, vraiment très belle. Elle avait aussi une jolie peau mais pas aussi blanche que la mienne car moi j'étais morte donc personne ne pouvait avoir la même blancheur que ma peau à moins d'être mort. Mais la jeune fille séduisante aux cheveux blonds avait une odeur de vivante, j'entendais même son coeur battre et je voyais son ventre se gonfler (très peu mais quand même) et se dégonfler. Toute ces petites habitudes me manquait parfois. J'aimais beaucoup être sous ma forme de chat car je pouvais respirer, mais sous ma forme humaine étant vampire je n'en avait pas le droit car je me mettais à respirer trop lontemps je risquais de mourrir. Bien sûr je pouvais soupirer mais cela n'avait plus le même effet sur moi que quand j'étais vivante...
Je remarqua que la jeune fille tenait un ours en peluche sous son bras. Il était rose avec des oreilles blanches...Non ses oreilles était blanches avec des rayures roses ou rose avec des rayures blanches, enfin bon bref ses oreills était rayé rose et blanc ! Elle le serrait fort, je compris alors qu'elle avait très peur. comme moi je jour de mon arrivé, j'avais eu tellement peur que je n'avais pas osé me retransformé quand Fumiko était arrivé vers moi...
Puis elle s'arrêta devant la mairie et murmura qu'elle voulait ses parents. Je vis des larmes s'écraser sur le sol. Elle pleurait. Et... Bah tient quand on parle... Non quand on pense à la louve la voilà ! Fumiko s'approcha de la jeune fille, la salua et lui demanda pourquoi elle pleurait. Elle lui sourit
Je ne sais pas comment Fumiko faisit pour ne pas craindre les gens inconnus mais faut dire que là c'était différent, elle était jeune et elle pleurait. Je décidais de m'approchais d'elle et de Fumiko. Je frottais ma tête contre son flanc et miaulais pour obtenir des caresses. Je lèchais la main de Fumiko pour lui dire que c'était bien moi et pas un autre chat inconnus qui ce serait aventuré ici...

- Maou ....Maou

[ oui je sais un chat c'est sencé faire MIAOU et pas MAOU mais ça c'est ma particularité à moi ! Na ! XP ]